t’as décroché un entretien d’embauche et tu veux te transformer en négociateur hors pair pour ton contrat de travail? T’inquiète, je suis là pour te coacher. Enfile tes lunettes de soleil, prends ta meilleure pose de bad boy ou bad girl, et c’est parti!
Négocier ton salaire en entretien d’embauche pour ne pas te faire avoir
le salaire! Ce mot magique qui fait briller les yeux mais qui fait aussi transpirer à grosses gouttes quand on en parle en entretien. T’as pas envie de te faire arnaquer, n’est-ce pas? Alors suis le guide, camarade!
Connaître le budget de l’entreprise
Tout n’est pas gravé dans le marbre. Essaye de connaître le budget que la boîte a alloué pour le poste. Si t’es vraiment chaud patate, tu peux même tenter de discuter direct avec les RH avant l’entretien. Toute info est bonne à prendre!
Expérience et compétences
Tu te rappelles de cette pub “Vaut mieux avoir un diplôme que du talent”? Oublie ça! Ton expérience et tes compétences, c’est de l’or en barre. Fais une liste de tous tes super-pouvoirs professionnels et sois prêt à en parler pendant l’entretien. Tu es unique, fais-leur comprendre!
Négociation active
Bon, t’es bien renseigné et t’as préparé ton speech. Maintenant, place à la négociation. Ne joue pas au plus malin en balançant un chiffre trop élevé, mais ne te vends pas non plus au rabais. Trouve le juste milieu et sois prêt à argumenter.
Le timing
Quand aborder le sujet du salaire? Pas au début de l’entretien, malin! Attends que l’ambiance soit un peu plus détendue et que tu aies fait bonne impression. Si le recruteur aborde le sujet en premier, c’est encore mieux.
Les extras
N’oublie pas, le salaire n’est pas le seul avantage. Pense aux bonus, aux primes, aux jours de congés supplémentaires. Bref, tout ce qui peut rendre ton quotidien plus doux.
La clause de révision
Dernier conseil, mais pas des moindres, essaie d’intégrer une clause de révision de salaire dans ton contrat. Comme ça, si tout roule, tu pourras renégocier ton salaire à la hausse dans quelques mois.
Bien négocier les avantages en entreprise
Les avantages, c’est la cerise sur le gâteau. Mutuelle, tickets restau, télétravail, place de parking réservée près de la machine à café… Énumère ce qui compte pour toi et sois prêt à discuter. Mais sois réaliste, hein ! Demander un jacuzzi dans ton bureau, c’est peut-être un peu too much.
La liste de tes désirs
D’abord, fais-toi une petite liste. Ouais, un peu comme au Père Noël, mais en moins gamin. Note tout ce qui pourrait rendre ton quotidien professionnel plus agréable: mutuelle au top, tickets restau, télétravail, abonnement gym, etc.
Le contexte de l’entreprise
Bien sûr, faut pas rêver. Si t’arrives dans une start-up qui fonctionne aux ramens instantanés, n’espère pas une mutuelle digne d’un oligarque russe. Renseigne-toi sur ce que l’entreprise offre habituellement et adapte tes demandes.
La négociation
Tu sais ce que tu veux, tu sais ce que la boîte peut offrir. Bien, maintenant, tu peux entrer dans la danse. Sois clair, sois précis, et surtout, sois réaliste. N’oublie pas que chaque avantage coûte aussi à l’entreprise. Si tu demandes la lune, assure-toi d’apporter des étoiles.
Les alternatives
Parfois, ça coince. Le boss te dit que pour les tickets restau, c’est niet. Pas de panique. Suggère des alternatives comme une augmentation des jours de télétravail ou un petit bonus en fin d’année. Sois flexible!
Le timing (encore)
N’aborde pas les avantages dès que tu franchis la porte. Attend le bon moment, généralement après que les détails du job et du salaire soient plus ou moins réglés. Là, tu peux sortir ta liste de désirs comme un as du poker.
Réévaluation
Tu n’as pas tout obtenu? Pas grave. Demande une clause de réévaluation des avantages après une période donnée. Ainsi, si tu déchires tout, tu pourras revenir à la table de négociation avec de nouveaux atouts en main.
Keep It Cool
Négocier c’est aussi savoir quand s’arrêter. Si tu obtiens une bonne partie de ce que tu voulais, ne joue pas au gourmand. Un contrat de travail, c’est un compromis entre toi et ton futur employeur. Faut que tout le monde s’y retrouve.
Choisir entre CDI, CDD et freelance
CDI, CDD, freelance… la nature du contrat peut varier. Réfléchis à ce que tu veux vraiment. Si t’es en quête de stabilité, privilégie un CDI. Si tu es un électron libre, un CDD ou un contrat freelance pourrait te convenir. N’oublie pas de négocier la période d’essai. Une période trop longue et tu te retrouves en période de test éternelle.
la recherche de stabilité : CDI
si t’es du genre à vouloir poser tes valises et à ne pas vouloir te soucier de la fin de ton contrat tous les trois mois, le CDI est pour toi. Un CDI offre souvent une certaine tranquillité d’esprit et généralement davantage d’avantages sociaux comme une mutuelle, une retraite complémentaire, etc. C’est un peu la Rolls Royce des contrats.
l’aventurier moderne : CDD
en revanche, si t’aimes le changement et que tu cherches à diversifier tes expériences, le CDD peut être plus attrayant. Tu n’as pas les mêmes garanties qu’un CDI, mais tu peux négocier des indemnités de précarité ou des primes de fin de contrat pour compenser. Le CDD c’est un peu comme une relation sans attache, tu en profites mais tu sais que ça ne durera pas éternellement.
l’électron libre : freelance
alors là, on parle d’un autre niveau de liberté. Si tu n’aimes pas avoir un boss sur le dos et que tu es assez organisé pour gérer ta compta, tes clients, et ton emploi du temps, le freelance peut être l’option pour toi. Mais attention, la liberté a un prix : pas de congés payés, pas de couverture sociale. En freelance, tu es ton propre patron, mais aussi ton propre employé.
négocier la période d’essai
que tu optes pour un CDI, un CDD ou un contrat freelance, la période d’essai est un élément clé à ne pas négliger. Une période d’essai trop longue peut te faire sentir comme dans une période de test éternelle. Tu as le droit de négocier cette période pour qu’elle soit raisonnable et te donne assez de temps pour faire tes preuves sans te sentir piégé.
les petits détails qui comptent
n’oublie pas les clauses particulières qui peuvent être ajoutées à ton contrat. Par exemple, une clause de mobilité (qui t’oblige à bouger selon les besoins de la boîte), ou une clause de non-concurrence (qui te restreint dans tes futurs choix professionnels). Ces clauses peuvent sembler anodines mais peuvent avoir un grand impact sur ta carrière à long terme.
Vérifie les clauses diverses pour éviter les mauvaises surprises
Non-concurrence, confidentialité, etc. Ces clauses peuvent paraître barbantes, mais elles sont super importantes. Lis-les attentivement et n’hésite pas à poser des questions si quelque chose te semble louche. Rien de pire que de signer un contrat et de découvrir ensuite qu’on t’a mis des chaînes aux pieds.
clause de non-concurrence : fais gaffe à ton futur
Imagine : tu quittes ton job actuel et tu veux en trouver un autre dans le même domaine. Et là, BAM ! Tu réalises que t’as signé une clause de non-concurrence qui t’interdit de bosser pour un concurrent pendant 2 ans. C’est un peu comme se retrouver marié à une personne dont tu veux divorcer, mais qui te colle comme une moule à son rocher. Alors, lis attentivement cette clause et n’hésite pas à la négocier ou même à demander de l’enlever.
Clause de confidentialité : secret, secret, on a tous un secret
Tu sais, cette clause, c’est un peu comme le sceau de confiance dans une relation. Ton employeur veut être sûr que tu ne vas pas vendre la mèche sur ses petits secrets d’entreprise. C’est pour ça que cette clause est souvent non négociable. Mais fais attention : elle peut parfois être un peu trop restrictive et t’empêcher de travailler ailleurs avec les compétences que tu as acquises.
Clause de mobilité : prêt à déménager ?
Cette clause, c’est un peu comme si tu étais un pion sur un échiquier géant. Elle donne le droit à ton employeur de te déplacer comme il le souhaite, tant que c’est “raisonnable”. Si tu es du genre casanier, cette clause peut s’avérer problématique. Alors, prends ton temps pour la lire et vois si elle est en accord avec ton style de vie.
Clauses liées aux horaires et aux missions : pas de mauvaises surprises
Si tu penses que tes missions et tes horaires sont gravés dans le marbre, détrompe-toi. Certaines clauses peuvent spécifier que ton employeur a le droit de modifier tes missions ou tes horaires. C’est une manière pour la boîte de rester flexible, mais c’est aussi un risque pour toi de te retrouver à faire des tâches que t’as jamais signées.
Pose des questions, bon sang !
Quand tu lis ces clauses, ne laisse pas ton cerveau en mode automatique. Si tu ne comprends pas un jargon juridique ou si quelque chose te semble louche, pose des questions. Après tout, c’est de ton avenir qu’il s’agit.
Et si tu veux vraiment te préparer à tout ce qui peut arriver lors de ces négociations, ou si tu as des doutes sur un point juridique, pourquoi ne pas consulter un expert en droit du travail ? Une petite visite sur le site Lepany, expert en droit social pourrait t’être très utile. Ils sauront t’éclairer sur les détails spécifiques de ton contrat, les pièges potentiels à éviter, ou encore les meilleures stratégies de négociation à adopter en fonction de ta situation.